Marathon des grands crus 04 octobre 2008

vendredi 26 septembre 2008

Marathon des grands-crus
Le feu est passé au vert


Cette fois, c'est officiel. Le marathon des Grands Crus aura bien lieu, la semaine prochaine, entre Marsannay et Nuits-Saint-Georges. Hier, les organisateurs ont décroché l'autorisation préfectorale tant attendue in extremis.
L ORSQUE le marathon des Grands- Crus 2008 sera couru, le soir du samedi 4 octobre - la semaine prochaine -, Fabrice Dubuisson et Philippe Rémond pourront présenter leur candidature aux élections présidentielles américaines. Ils seront encore chauds.
Organisateurs de la seule course à pied côte-d'orienne longue des mythiques 42,195 km, les deux hommes viennent eux aussi de boucler un véritable marathon, pour remporter l'assentiment de tous les acteurs, au sens large, de l'événement, afin que ce dernier puisse avoir lieu.
Hier, en préfecture, ils ont eu l'assurance de la tenue de l'épreuve à l'issue d'une ultime réunion en début d'après-midi, en même temps que le directeur de cabinet du préfet de région délivrait le précieux arrêté autorisant la course. Ce qui n'était plus très sûr depuis quelque temps.
A l'origine du problème, un gros défaut de communication entre les différentes parties, avec d'un côté l'organisation du marathon, de l'autre les viticulteurs et les communes de la Côte traversées par l'épreuve. Des parties qui étaient pourtant faites pour s'entendre au départ, puisque l'événement sportif réalise dans le même temps une promotion incomparable de la région et de sa culture, dans tous les aspects que cela peut comporter.
Sauf que le temps en a décidé autrement. Dès le mois de juin, les premières inquiétudes ont commencé à poindre : les vendanges auraient lieu plus tard que d'habitude. En toute fin du mois de septembre.
Comment naît la rumeur
Un été à moitié pourri plus tard, les choses ne s'étaient pas arrangées. Forcément, les craintes que l'épreuve, qui traverse les vignes, perturbe un moment aussi critique que celui des vendanges, s'étaient aussi amplifiées. On imagine le tableau, le flot des coureurs serpentant entre les hottes, les vendangeurs, les ballonges et les enjambeurs. ça pouvait vite être compliqué. La rumeur était née : le marathon n'aurait pas lieu.
Il n'y avait donc plus vraiment le choix. Les deux hommes ont pris leur bâton de pèlerin et sont allés rencontrer tous les différents interlocuteurs pour expliquer le déroulement d'une course, rassurer, convaincre. Un véritable exercice de pédagogie mais aussi de diplomatie pour trouver des terrains d'entente. Comme à Chambolle, où le marathon n'empruntera que les vignes et pas les petites rues du village. Ce qui réduira l'épreuve de quelques hectomètres. Pour l'heure, l'important était que la course ait lieu. On retrouvera la distance officielle lors de la prochaine édition.
En fait, le travail s'est fait en parfaite intelligence, chacun effectuant l'effort nécessaire qui permet aujourd'hui que le départ puisse être donné. Ici en modifiant le parcours, là en bouleversant les horaires de vendanges. Chacun y trouvant son compte, sans que personne ne soit lésé. Et pour que la course ait lieu.


C'est une certitude, le marathon des Grands-Crus aura bien lieu, samedi prochain. Malgré les difficultés, ce sont entre 1200 et 1500 concurrents qui devraient s'aligner sur la distance mythique
http://www.marathondesgrandscrus.com

Alors ZAB , t'es partant ???

Préparé pour et inscrit, mais pas sûr car congé refusé , mais en attente "d'arrangement" avec un collègue pour me remplacer.....
Si ça se trouve, j'y saurai qu'la veille
en attendant j'vais quand même me goinfrer d'féculents toute la s'maine au cas oû!!!!!!

extrait du "BP" de ce matin.....
vendredi 3 octobre 2008

avant le marathon des grands-crus (demain)
« La peur du mur du trentième kilomètre »


Demain, sur le parcours toujours sortant de l'ordinaire du marathon des Grands-Crus, ils seront un certain nombre à disputer pour la première fois une épreuve de ce type. Avec un peu de peur et beaucoup d'envie. Rencontres avec quelques spécialistes (ou futurs spécialistes) pour évoquer leur première fois.
Pour Mickaël Pasero, cette première fois, ce sera demain. Toujours licencié au DUC, mais reparti s'installer dans sa région d'origine, l'Isère, celui-ci est en effet plutôt un spécialiste de la piste (800 et 1 500 m) l'été et du cross-country l'hiver. « Mais mes résultats étaient compliqués et je me suis dit : pourquoi ne pas essayer le marathon ? »
Le jeune homme de 25 ans, qui avait déjà participé au semi-marathon de Nuits, s'est donc concocté un programme de préparation de huit semaines. « Je ne suis pas devenu un spécialiste en si peu de temps, mais ça me permet d'avoir des bases, de faire une préparation foncière pour l'hiver et de savoir changer mes allures pour le futur. » Car la difficulté première de ce type d'épreuve est de savoir gérer les kilomètres. « Même en entraînement, on n'en fait jamais autant d'un coup. En course, il faut essayer de se régler par rapport aux autres. »
Il faut aussi savoir changer ses habitudes. « Je n'aime pas boire et manger en courant, mais il va falloir que je me force sans trop attendre si je veux éviter de piocher trop vite dans mes réserves. » Si le stress de départ a diminué au fil des entraînements, Mickaël se demande tout de même ce qui va se passer. « J'ai peur de ne pas aller au bout dans de bonnes conditions. Je dois éviter l'état de surfatigue car s'il arrive, je ne me ferai pas plaisir. Mais j'ai aussi à l'esprit que je peux devoir arrêter avant la fin. Beaucoup de personnes parlent du mur des 30 kilomètres... »
La prudence des débuts
Ce passage décisif, bien connu des marathoniens, Vincent Vassard (dit "Charles Trenet pour les intimes, hein "Tomb"!!! ) l'a surmonté sans difficulté lors de sa première expérience, en 1997. Il n'avait alors que 22 ans, on le disait trop jeune, mais il allait finir deuxième. D'entrée. « C'était presqu'une victoire car je rêvais depuis un moment de faire partie de la famille du marathon. » Appréhendant tout de même la distance, il s'était préparé assez prudemment, « avec pas trop de kilométrage ». Une prudence qui a aussi été le fil conducteur de sa course ce jour-là. « Je n'ai relancé qu'à partir du 30e kilomètre. A la fin, j'étais euphorique, j'ai pu encore accélérer. Je voulais faire 2 h 35 et je suis arrivé en 2 h 28. Je me suis surpris, même si j'avais toujours pensé que je serai meilleur sur le long que sur le court. C'est une question de physiologie. J'arrive mieux à m'exprimer. Je suis un tracteur. Je ne me suis jamais amusé à faire du sprint. »
Après cette première expérience qui lui a presque paru facile, Vincent Vassard (qui chaaante soir et matin sur le chemin" )a accumulé les courses. « Entre 16 à 18 marathons », compte-t-il. Dans le lot, on trouve un titre de champion de France de marathon par équipes en mai 2006 (et 6e en individuel en 2 h 22), deux victoires au marathon des Grands-Crus (2005 et 2006) et six titres de champion de Bourgogne.
En matière de palmarès, Philippe Rémond peut tout de même lui en remontrer. S'il se souvient avec acuité - « je peux refaire le film de ces courses dans ma tête » - de ses performances au marathon de Paris (5e en 2 h 11'') ou aux championnat du monde à Athènes (11e), son premier marathon, en 1993, reste inoubliable. « Je voulais commencer par une épreuve populaire, mais de bon niveau. C'est pourquoi j'avais choisi le marathon du Médoc. Il n'y avait pas de pression, mais il se gagnait déjà en 2 h 20, avec un parcours assez dur, de la chaleur. »
Sensation d'euphorie
Lui qui venait de la piste et du cross ressent un peu d'appréhension. « Cette épreuve a eu une saveur un peu particulière. Je m'aventurais dans l'inconnu. Je m'étais notamment mis dans la tête ce fameux mur du 30e kilomètre et je m'attendais à avoir un trou noir, mais je l'ai banni très vite de mon esprit et j'ai pris du plaisir de bout en bout. Avec une sensation d'euphorie et la gagne à l'arrivée. »
Cette première course n'avait donc pas été marquée par la douleur. Ce ne fut pas toujours le cas. « C'était la chance du débutant. Ensuite, la notion de chrono est devenue très importante. J'ai pris plus de risques. J'ai connu des moments terribles, je suis allé loin dans la douleur. » Pour lui, le jeu en valait la chandelle. « Quand j'ai commencé l'athlétisme, le marathon était un aboutissement. C'était une distance mythique et ceux qui la pratiquaient étaient considérés comme des super héros. » Aujourd'hui, après quelque 70 marathons, les choses sont différentes, mais le souvenir de la première reste vif.
P. C.-L.

J'viens d'entendre le flash info sur RMC SPORT , et v'la ti pas que notre ZABLO à tourner à 2h29 et notre Roumaine FABI à - de 45 mn sur le 10 kms , ça s"arrose

syl a écrit:

J'viens d'entendre le flash info sur RMC SPORT , et v'la ti pas que notre ZABLO à tourner à 2h29 et notre Roumaine FABI à - de 45 mn sur le 10 kms , ça s"arrose

2hrs29 !!!!!! pwaa ! hallucinant

RESPECT Monsieur Zablo 2h29

BRAVO Fabi 45" 17 ,on t'attend pour la Croix

bravo a eux deux pour leur superbe prestation au 10 km et marathon de marsagnay la cote

ils forment un vrai couple de champions

En effet , je sais pas si les deux épreuves sont qualificatives ? Si c'est le cas éric fait la 7eme pef de tous les temps sur la distance en 71 et le meilleurs temps en vétérans détenu par ballandras en 2hrs 34 en 1996 !!!!!
et bravo à FABI

AAAAAAAH j'arrive avec du retard BRAVOOOOOOOO LES CHAMPIONS OUAAAAAAAA ça crapahute dur cette année 2008 est vraiment un grand cru Zab et Fabi chapeau

BRAVO "MES" CHAMPIONS FAUX RHUMEUX

Un grand bravo à tous les deux,vraiment superbe

Je crois que ni le marathon ni le 10 km ne sont labellisés, les temps réalisés ne sont pas retenus dans ce cas comme performance des athlètes, encore moins comme records départementaux ou régionaux. Mais il suffit de confirmer dans un vrai Marathon, à Gueugnon par exemple, pour que Zablo dépasse Jo. Il a encore le temps car Jo avait 53 ans quand il a fait ses 2h 34' 08" au Marathon de Paris 1996.

Il n'y a aucune raison de "labelliser" ce marathon de....40,300km, raccourci volontairement pour cause de vendanges tardives!!!
et kilométrage complètement faussé du à erreur de direction au 2ème km

Il faut donc pour plus de présision rajouter 6à 8 mn sur nos chronos pour se faire une idée, et encore!!!!!
Dommage, organisation pas à la hauteur des précédentes vu les "moyens" engagés, surtout au niveau de la communication!!!!!
Elle ne pourra que faire mieux l'an prochain!!!!
Mais bon mis à part la course assez bien déroulée, super journée (marathon aussi... )et bonne ambiance ...improvisée!!!!
Merci Marcel pour les 15 derniers kms en vélo....
Bravo ma filliotte pour ta perf' sur le dix et ta joie d'vivre sur le vin...gt (d'honneur) !!!!
A refaire ....Si on a aut' chose à faire sur Dijon....
En parlant de ça, "Brico-dépôt" c'est presque dev'nu aussi cher désormais que "Castô"!!!!
....Ca craint la "crise" est partout!!!!!!

Le marathon des Grands-Crus, dans une version rénovée, a connu hier quelques vicissitudes, mais a surtout sacré le Duciste Mickaël Pasero, pour son premier marathon, devant Vincent Vassard. E ntre ombre et lumière. C'est le résumé des courses qui ont marqué hier le retour du marathon des Grands-Crus dans son créneau d'octobre. Avec un nouveau départ au cœur de Marsannay, devant la mairie, les organisateurs ont gagné le pari de la convivialité, et de la chaleur humaine. Les meilleurs coureurs du jour n'ont d'ailleurs pas manqué de saluer ce public nombreux qui les poussait dans cette ultime boucle du marathon, au départ prévue pour en être l'apéritif.... Sur le 10 km, qui était sans doute plus un 9,5, Sabrina Ghandour-Tayeb, vainqueur chez les féminines, n'a pas manqué de saluer « ce nouveau parcours, vraiment sympa ». Mais, comme le soleil qui a tantôt baigné l'épreuve tantôt joué à cache-cache avec les nuages, cette première a connu quelques soubresauts. La première boucle, qui devait s'initier à Couchey, voyait le peloton filer plein sud au cœur des vignes, sans repasser par la ligne d'arrivée. Le temps d'avertir les coureurs d'une boucle de rattrapage au retour et déjà la hiérarchie se dessinait clairement à Morey-Saint-Denis. Derrière le n° 621, éclaireur des adeptes du semi-marathon et inscrits dans l'épreuve en duo, on retrouvait à 20'' la tête du marathon et les attendus Vincent Vassard, Mickaël Pasero et un compagnon de luxe, Philippe Rémond, inscrit pour sa part en binôme. Le Gueugnonnais Eric Zablocki et Cyril Mulot étaient en deuxième rideau, avec une abysse derrière eux et le long serpentin d'anonymes et de déguisés qui s'étirait au cœur des vignes, où les vendanges avaient droit de cité. Double détente Avant la mi-course, Vassard s'isolait seul en tête, Pasero préférant garder son rythme. « On m'avait conseillé d'attendre le retour, car dans un marathon, c'est souvent là que se fait la différence. » A Nuits, c'est donc dans cet ordre que passaient les deux premiers, et toute la troupe des marathoniens, qui se faufilaient dans la vigne nuitonne, parfois sans passer par quelques cases signaleurs, bien en peine de savoir où se dirigeait la troupe. On la retrouvait finalement en parfait ordre de marche à Vosne-Romanée, où tout rentrait dans l'ordre. Eté studieux pour Pasero Profitant d'un léger fléchissement de Vassard, Pasero le rejoignait au 30e kilomètre, avant de continuer sur son rythme, mais seul. « C'est vraiment spécial de battre Vincent (Vassard) sur marathon, alors qu'on le voit presque toujours en tête des classements. Si je viens de la piste, une blessure aux ligaments il y a trois ans au ski m'a coupé dans ma progression sur 1 500 m et quand j'ai vu que je ne me faisais plus trop plaisir, j'ai passé un été studieux pour voir ce que ça pou- vait donner sur longues distances. » Après un premier semi en mars, Mickaël Pasero (pas encore 25 ans) a enchaîné avec un raid d'une semaine cet été dans les Alpes - il est originaire d'Annecy - et le semi du Bien Public début septembre. « J'ai fait des kilomètres pour préparer au mieux la saison de cross et ce premier marathon, mais, jusqu'à présent, je n'avais jamais été au-delà de 2h15 à l'entraînement et 33 km. » La barrière du 30e n'a pourtant pas été sa principale préoccupation. « Dans un marathon, chaque kilomètre est dur, mais la dernière boucle, avec le public dans le cœur de Marsannay, c'était vraiment plaisant et ce n'est pas si fréquent d'avoir du monde qui vous encourage deux fois sur la fin.» Anthony PROST

Emmanuel David en souplesse


Deux boucles autour de Marsannay ont servi de support au 10 km, organisé en parallèle au marathon. Si, comme on a pu l'entendre au gré des conversations des participants, le parcours faisait sans doute plutôt 400 mètres de moins, cela n'a nullement empêché Emmanuel David de régner sur la course. « J'avais gagné le 10 km sur l'ancien parcours, je suis content de le faire aussi sur ce nouveau tracé qui est assez accessible. De retour de blessure, je suis en pleine préparation pour la saison de cross et notamment le triathlon d'Arnay le 11 novembre, que j'avais remporté en 2006. Je suis parti dès le premier kilomètre et je m'en suis tenu à mon rythme. »
En forme ascendante depuis sa reprise, Emmanuel David tentera aussi fin novembre de gagner sa sélection pour les championnats d'Europe de cross.

Marathon des Grands Crus 2008

COMMUNIQUE DE L’ORGANISATION


L’édition 2008 du Marathon des Grands Crus qui vient de s’achever s’est déroulée dans des conditions particulières. Quand les choses vont, il faut savoir le dire ; et quand les choses ne vont pas, il faut savoir le dire aussi. Nous n’avons pas été bons et nous vous devons la vérité.

Quelques jours avant l’épreuve, nous ne savions pas si la course allait avoir lieu.


Tout le temps et l’énergie que nous avons mis les dernières semaines à faire se tenir l’épreuve, nous ne l’avons pas mis à régler les détails techniques. Ce qui explique les soucis de ravitaillement, de parcours… Des changements ont dû être faits les tous derniers jours.

L’unité totale des acteurs de cette épreuve cette année ne s’est pas faite en totalité en raison d’un calendrier défavorable lié aux vendanges.

Nous regrettons bien sûr cette situation et adressons nos excuses à tous les compétiteurs pour les problèmes qu’ils ont subis.

Nous remercions également tous ceux qui nous ont adressé des messages de soutien et d’encouragement et qui ont été conscients de nos difficultés.

Le Marathon des Grands Crus a toute sa place dans le calendrier national. Il était primordial que l’édition 2008 ait lieu.

Nous vous donnons rendez-vous le 24 octobre 2009.



Le comité d’organisation


Allez sans rancune pour l'organisation , cette édition restera quand même un bon souvenir !!!
Surtout avec ce dernier en compagnie d'un "accompagnateur comm'on en fait plus"!!!!

vendredi 15 mai 2009

Podium - L'info
Pas de marathon des Grands-Crus


La décision prise par les organisateurs, Sport Evénements Grands-Crus, a été officialisée en début de semaine : il n'y aura pas de marathon en Côte-d'Or cette année. Le marathon des Grands-Crus, l'un des gros rendez-vous du département, figurant sur le calendrier officiel des courses hors-stade, et qui était prévu le 24 octobre 2009, a été annulé. Les maires des communes de la Côte, traversées par le tracé de 42,195 km, partant et arrivant à Marsannay, ont été prévenus de cette décision par courrier.
« Toutes les solutions ont été recherchées », souligne Fabrice Dubuisson, l'un des membres du comité d'organisation. Comme de nombreux clubs, ou de nombreux autres événements, le marathon des Grands Crus est « victime de la crise », pour ce qui est donc de l'édition 2009, alors qu'il n'y en avait déjà pas eu en 2007 et que la course avait été sauvée in extremis l'an dernier. Cette fois, c'est le budget qui n'a pas l'assurance d'être bouclé.
S'il était question de conserver une épreuve de 10 km, l'organisation a préféré tout annulé, pour se concentrer, déjà, sur les éditions 2010 et 2011. « On va se battre pour que l'on ne coule pas », ajoute Fabrice Dubuisson.
Décidémment, le marathon des Grands-Crus, qui pourrait être la course n°1 en Côte-d'Or, a bien du mal à trouver sa vitesse de croisière.
S. L.