17e édition de La Course du Bien Public

je serai sur le 10 , mon bulletin est parti et mon coach sera aussi de la partie !


17e édition de La Course du Bien Public
Le 06/09/2008 -



Course pédestre dijonnaise de :

- 21 Km : départ quai Nicolas Rolin à 13h00

- 10 Km : départ quai Nicolas Rolin à 15h00

- 3 Km (course benjamin(e)s) et mininimes)

- 1 Km (courses poussins)

- 1 Km (école d'athlétisme)

Les départs des courses enfants ont lieu le long du canal à côté du journal dans l'après-midi.

Tél. : 03 80 42 42 61



http://www.bienpublic.com

ouais et le zab aussi il y sera sur le semi.

moi j'aime bien cette course meme si le parcours est un peu monotonne a force de le faire ( la 7 fois cette année)

plus on est de fou plus on rit

allé hop!!!!c'est parti pour un petit footing agen

pwaa le coach tu vas etre trop fort cette année te concernant lol

coach salah a écrit:

allé hop!!!!c'est parti pour un petit footing agen

passeke' d'habitude tu fais ton footing Bourer

syl a écrit:

coach salah a écrit:

allé hop!!!!c'est parti pour un petit footing agen

passeke' d'habitude tu fais ton footing Bourer

oui comme ca j'ai l'impression de faire de long footing

syl a écrit:

coach salah a écrit:

allé hop!!!!c'est parti pour un petit footing agen

passeke' d'habitude tu fais ton footing Bourer

AAAAH content de te r'trouver en pleine bourre, Syl mais désormais tu pointes à 700 mess. derrière et le "coach"
et "nana" te talonnent, y a eu du "laisser-aller"!!!!
t'as donc du "boulot" pour la rentrée....

j'en suis à combien mouaa

mercredi 3 septembre 2008

Samedi, course du « Bien Public »
Un travail de fourmis


La 17e édition de la course du Bien public est dans les starting-blocks. Le départ est pour ce samedi. Le sprint final est donc lancé pour une organisation de plus en plus pointue, en charge de quelque 1 500 athlètes.
Le sablier s'égraine doucement mais sûrement, il ne reste plus que 72 heures à Frédéric Bonnemain et son équipe pour régler les ultimes détails de la grande cérémonie de samedi.
D'ultimes petites retouches qui ont toute leur importance. « Notre objectif majeur est que tout le monde reparte content », martèle d'emblée le maître d'œuvre de l'événement. « On tient à garder cet esprit populaire. Tous les participants doivent avoir leurs lots et un traitement adéquat. Il n'est pas question que les premiers raflent tout et que les autres ne bénéficient même pas d'un verre d'eau ! »
Pour atteindre cet objectif d'équité, tout est calculé et soigné dans les moindres recoins. « Pour les ravitaillements, on calcule par exemple à l'extrême. Plus d'un millier de bouteilles d'eau sont prévues », reprend Bonnemain avant de détailler l'ampleur de la tâche que représente une telle compétition. « Il faut tout mettre en place, que ce soit les demandes d'autorisations préfectorales, prévenir les riverains… C'est très varié et très prenant. C'est aussi pour cela que l'on souhaite aujourd'hui, compte tenu des structures actuelles, limiter à 1 500 inscriptions. »
Le fruit du hasard est un fruit défendu pour Frédéric Bonnemain qui effectue en l'espèce un travail de coureur de fond. « On doit aussi veiller au balisage du parcours, au contrôle antidopage… Bref, depuis avril, nous travaillons avec le BP pour parer à toutes les éventualités », prolonge-t-il avant d'insister.
« On respecte nos bénévoles »
« Heureusement, nous pouvons aussi compter sur une équipe d'une centaine de bénévoles de l'AC Chenôve pour le jour J. On a en général 30% de turn over d'une année sur l'autre. Ce sont en général des gens de l'encadrement du club mais aussi des personnes qui viennent retrouver des copains. Ils aiment l'ambiance parce qu'on respecte nos bénévoles. » Plus que jamais l'organisation met les petits plats dans les grands. « On a tenu compte des remarques qui nous ont été faites. On a plusieurs évolutions notables avec l'instauration des drapeaux flottants sur les lignes de départ. Beaucoup de coureurs ne savaient pas ou se rendre. De grandes banderoles seront déployées. Sur la course en elle-même un gros effort de signalisation sera effectué. On a rajouté des barrières…On a fait le maximum et la sécurité n'est pas en reste. »
Une vingtaine d'officiels seront également dépêchés pour veiller à la régularité sportive de la course. « Ils font partie de la FFA. Il y a deux officiels - Michel André et Alain Bulot - qui passent avant la course pour voir si tout est bien calé. Ils feront un rapport à l'issue et en fonction, on corrigera le tir si besoin. A son terme, on récolte des points qui peuvent nous permettre d'obtenir un label. »
Le credo de Frédéric Bonnemain et de tous ses collaborateurs est une organisation minutieuse et sans faille. C'est ainsi parti sur les chapeaux de roue pour cette 17e édition dont il se murmure qu'elle pourrait bien battre des records.
Jérôme ROBLOT



Inscriptions. - Toutes les inscriptions sont désormais à déposer au siège du Bien public. Les bulletins d'inscription sont à retirer dans les agences du Bien public ou à télécharger sur le site internet du journal www.bienpublic.com.

LA COURSE DU «BIEN PUBLIC » SAMEDI
Une drôle de rentrée


Comme l'année dernière, le Duciste Emmanuel David, blessé au printemps, fera sa rentrée lors du semi-marathon de la course du Bien public. Il faudra encore attendre quelques mois pour le voir à son meilleur niveau.
L E ciel est triste comme un jour de rentrée. ça tombe bien, c'est la semaine. Avec son groupe de l'école d'athlé, qui a retrouvé le chemin de l'entraînement hier, Emmanuel David rejoint la Halle du Campus, où il fait sec. « C'est ça le demi-fond», sourit-il. Il ne faut pas craindre les intempéries. D'un point de vue plus sportif et plus personnel, l'athlète du Dijon Université-Club va faire sa rentrée. ça sera samedi, sur le semi-marathon de la course du Bien public. Comme l'année dernière. Une date assez singulière pour une reprise, lorsque l'on fait du demi-fond.
Blessures
Mais voilà, depuis deux ans, le printemps est synonyme de blessure pour le Dijonnais, qui ne peut donc s'exprimer sur la piste lors des rendez-vous de l'été. Il y a un peu plus d'un an, c'est une déchirure de l'aponévrose (enveloppe musculaire) au niveau du pied qui l'avait stoppé net, un peu avant les interclubs. Fin mars de cette année, rebelote, c'est encore une déchirure qui est diagnostiquée, au niveau de l'aponévrose du mollet cette fois. « On m'a dit qu'il n'y avait aucun lien entre les deux. C'est frustrant, parce que je sais que je pourrais faire des choses. »
Tout le monde en est persuadé. On ne boucle pas deux fois les 10 km de Nice en 29'24'' et en 29'34'', en prenant les 5e et 6e places, par hasard. Comme la chance n'a plus droit de cité quand on termine 5e des championnats de France Elite sur 5 000 m, ou quand on s'adjuge le titre de champion interrégional de cross. ça donne des idées, forcément.
Alors, évidemment, on cherche aussi des causes. Un peu de fatigue la première fois, mais sans plus. Un changement de pointes. « C'est plus un problème de posture et de foulée », explique-t-il. « Mais la blessure fait partie de ce que l'on fait », ajoute l'athlète froidement. Et ce qu'il fait - « du haut niveau à mon niveau », précise-t-il - , laisse des traces sur l'organisme. « On n'est pas des machines et on joue avec les limites. On s'inflige des choses. »
Des signes positifs
Philosophe face aux coups du sort, Emmanuel David est également patient pendant sa convalescence. « A chaque fois, j'ai pu reprendre après trois mois d'arrêt complet. » Alors qu'on lui a parlé d'un pronostic variant entre six mois et un an. «Je ne perds pas ce que j'ai déjà fait non plus. Pendant le repos, j'assimile. Je me régénère physiquement et mentalement. Bien sûr, c'est embêtant. Je n'ai pas le temps de faire ce que je veux. Mais il y a pire. Liu Xiang aurait dû être la star des Jeux. »
Tranquillement, Manu a donc repris, au mois de juillet. « En courant à 10 km/h pendant longtemps, comme me l'a conseillé Georges Gacon, que j'ai croisé en juin. » Une allure inconcevable pour lui. « Mais je l'ai fait. » Un peu d'électrostimulation, beaucoup de vigilance et des premiers signes positifs.
Comme chaque été, il a pris part au 10 km de Buis-les-Baronnies, où il va en vacances, au pied du Mont-Ventoux. Aucune douleur le lendemain. Mieux même, il a pu effectuer, le lendemain la traditionnnelle ascension de la fameuse montagne, en courrant, dans des temps proches de ceux réalisés en 2006, quand il était au top.
« J'ai un mois d'avance par rapport à l'an dernier. Je devrais pouvoir finir en 1 h 10'30''. J'en saurai plus samedi. »
Stéphan LETOURNEAU

moi aussi je fais ma rentrer sur les 10km du bien public

apres 2 mois de barbecue ,glace en parrallele le vélo et un peu de course a pied

me revoila de retour pres a renvoyer tous se que j'ai dans mon estomac

alors a samedi

NANA a écrit:

Trop loin dommage je vous encouragerai à distance.Sinon j'aurai bien emmené les cloches,les tambours,les raillottes et tout le tralala et ma jolie voix (j'aurai crié comme après les poissons du Zab )

on te connais pas

Oais, c'est bien gentil tout ça
mais quand est-ce-que tu nous fais ta vraie rentrée "à pieds"?????
Pourquoi pas un p'tiôt r'lai féminin à Curdin avec Alice, Ascension ou Fabi, Tomb, cali, pink panther, danielle........etc....
Idem pour les "hommes"......

T'arrête touaaaaaa de casser mon six/six goodnight le week j'aurai +++++ de temps pour vous embêter

ouoooooh!!!! tu réponds à ma question touâââ?????!!!!!

zablo l'écolo a écrit:

ouoooooh!!!! tu réponds à ma question touâââ?????!!!!!

moi si des personnes veut faire equipe avec moi je suis partant

D'ici l'13,faut vous constituer des équipes et surtout dites bien "repas italien" d'après course (10 euros) donc ça sent bien bon la fête tout ça !!!!!

vendredi 5 septembre 2008

La 17e édition démarre demain samedi
Course du « Bien public » : dans les starting-blocks


Nombre de coureurs à pied se retrouvent demain à l'occasion de la course du Bien public. De l'avis des habitués, l'important est de bien gérer son effort.
AAMATEURS ou confirmés, ils ne manqueraient pour rien au monde l’un des derniers rendez-vous sportifs dijonnais de l’été.
Samedi après-midi, ils seront plus de 1 000 coureurs à pied à participer à la 17e édition de la course du Bien public, disputée comme chaque année sur les rives du lac Kir aux portes de Dijon.
Organisée par le journal Le Bien public, avec le soutien technique de l’Athlétic- Club Chenôve (AC Chenôve), la course propose deux distances pour les adultes : une course de 10 kilomètres et un semi-marathon de 21 kilomètres.
Ces deux distances sont qualificatives pour les championnats de France 2009. Par ailleurs, la course de 21 kilomètres fait partie des épreuves de la coupe de Côte-d’Or hors stade, elle délivrera pour les licenciés le tire de champion de Bourgogne de semimarathon.23 départements représentés Frédéric Bonnemain, président des courses hors stade de Côte-d’Or et vice-président de l’AC Chenôve, vient de reconnaître le parcours de la course sous la pluie.
Seulement 42 minutes pour 10 kilomètres, il n’a pas traîné.
« Plusieurs coureurs viennent participer à la course en vue de se qualifier pour les championnats de France.
C’est pour cela que l’on n’a pas moins de 23 départements représentés sur la ligne de départ », expliquet- il.
Entraînement indispensable « Parmi ceux qui vont courir samedi, certains n’ont jamais fait de semi-marathon.
Ils ne vont pas répartir leur effort de la même manière que ceux qui sont habitués à cette distance de 21 kilomètres.
Quand on pratique la course à pied, il vaut mieux s’entraîner régulièrement.
Des sorties d’une heure de footing sont fortement conseillées.
Ceux qui courent en compétition font des séances de fractionné, où ils alternent accélération et récupération, afin d’améliorer leur résistance à l’effort.
On conseille à ceux qui débutent ou ceux qui courent régulièrement de courir à leur rythme, de ne pas chercher à suivre les plus rapides, sans quoi ils s’exposent inutilement à une défaillance rapide », poursuit Frédéric.
Il y aura dans la course des « meneurs d’allure », repérables grâce à un ballon gonflable et un T-shirt spécifique.
Ces bénévoles vont courir à un rythme moyen, entre 45 et 50 minutes pour le 10 kilomètres et 1 h 45 pour le semi-marathon.
Des sucres lents pour l’effort Plusieurs athlètes de l’Association des coureurs sur route de Dijon (ACR) prendront part à la course, dont le président, Jean-Marc Chiodin.
« Il est important de faire des étirements avant la course, pour ne pas partir à froid. Pour ce qui est de la nutrition, il n’y a pas de régime particulier pour le 10 kilomètres, en revanche le semi-marathon demande de manger des sucres lents plusieurs jours avant le départ.
Certains athlètes vont vouloir se qualifier pour les championnats de France de l’année prochaine. Les seniors devront parcourir les 10 kilomètres en moins de 34 minutes. Je pense que ça va partir très vite pour se placer avant la route du canal, qui est étroite », prévient-il.
Du côté de la météo, on n’annonce pas un grand beau temps. Ce n’est pas forcément un mal, selon Frédéric Bonnemain.
« Quand il pleut, il y a davantage d’oxygène dans l’air.
Evidemment, je ne souhaite pas qu’il tombe des cordes, mais une petite pluie fine est moins néfaste pour l’organisme qu’un grand soleil », ajoute le spécialiste des courses hors stade.
En marge de la course, une soixantaine de bénévoles de l’AC Chenôve seront présents sur le circuit pour sécuriser celui-ci, notamment aux croisements.
Des officiels de la Fédération française d’athlétisme rempliront le rôle de starter, chronométreurs ou encore juges à l’arrivée.
Cette organisation bien huilée devrait permettre à tous les participants et spectateurs de la course de passer un excellentmoment. En espérant que le ciel ne nous tombe pas sur la tête...
Nicolas ROUILLARD

vendredi 5 septembre 2008

à la course du « bien public » demain
En route vers le grand chelem


Après avoir remporté le titre régional sur dix kilomètres, sur marathon et sur l'épreuve de course de montagne, Vincent Vassard va tenter de se parer d'une quatrième couronne de champion de Bourgogne, sur semi-marathon, demain.
SES adversaires sont souvent bien en peine de savoir si, au beau milieu d'une course, le sociétaire d'Athlé 21 éprouve quelques difficultés ou non. Vincent Vassard a toujours le sourire.
Forcément, ça doit en énerver plus d'un. Lorsque vous courez déjà depuis quelques bornes, que l'aspect tactique de la course commence à rentrer en ligne de compte et que vous avez à vos côtés un phénomène comme Vincent, qui vous affiche une large banane alors que, dans le même temps, le commun des mortels repousse les limites de la douleur foulée après foulée... C'est à vous vacciner à tout jamais du goût de l'effort.
Depuis le début de la saison, le marathonien s'est pris d'une nouvelle passion. Il collectionne les titres de champion de Bourgogne. Sur 10 km, sur marathon et en course de montagne. Rien ne lui a échappé pour ce qui est de la course sur route.
« Le niveau régional est valorisant »
Seul le Duciste Emmanuel David lui a logiquement barré le chemin en cross l'hiver dernier. Alors, évidemment, s'il planifie ses saisons avec son entraîneur Paul Roizot, plutôt autour de deux marathons dans l'année - un au printemps et un à l'automne - , il voit venir avec un intérêt certain la course du Bien public qui sera demain le support des championnats de Bourgogne de semi-marathon.
« Je me prends bien au jeu », reconnaît le postier. « Moi, je n'ai pas un niveau national. Mais je me contente de mon niveau régional. C'est toujours valorisant.»
Vincent n'est pas dupe non plus. Il sait très bien que tous les cadors de la Bourgogne ne court pas après ces titres non plus. « J'aimerais bien qu'il y ait plus de concurrence. » Les absents ont toujours tort.
Maintenant, à son niveau comme il le répète, le garçon des Laumes a également fait des progrès, depuis qu'il a découvert la course à pied, en novembre 1989, lors du traditionnel rendez-vous des sapins sédélociens. Du cross et de la piste, où il effectuait 1 500 m et 3 000 m, il s'est plutôt rapidement tourné vers la route. « J'ai toujours eu un problème de vitesse, alors que potentiellement, je suis plus endurant. »
Déjà de beaux souvenirs
Etait-ce un signe ? Qualifié pour les championnats de France de cross en cadets en 92, il avait devancé un certain Benoît « Z ». De toute façon, depuis le départ, Vincent Vassard avait une petite idée derrière la tête. Le marathon. « Quand j'ai commencé, ça me faisait rêver. Quand je voyais les personnes qui en faisaient, pour moi, c'était des surhommes. C'est une sacrée distance. »
Quelques années plus tard, M. Vassard en a gagné neuf. Ce qui fait quelques bons souvenirs. Son premier, c'était lors de la première édition du marathon des Grands Crus. Parti prudemment, comme à son habitude, il termine 2e en 2h28', derrière une certain Jean-Luc Assimat, champion de France de la distance. « J'étais sur un nuage.»
Mais le plus beau est un souvenir collectif, avec Régis Raymond et Benjamin Petitjean, sous les couleurs d'Athlé 21. En 2006, les trois hommes ont pris les places de 6, 10 et 13 lors des championnats de France de marathon, remportant ainsi le titre national par équipes. Vincent Vassard avait aussi signé là son record sur 42,195 km, en 2h22'. « Pour nous, c'était inespéré. » Comme quoi rien n'est impossible.
Stéphan LETOURNEAU

eh ben j'y s'rais gare à toi éric je vais coller à tes basques je ne te lacherai pas

cali a écrit:

pas de jaloux,comme au Mont Dore!!!!!!!!!!!!! la température sera 1 peu + douce
Samedi
Matin 17°C 10 km/h - pluie
Après-midi 18°C 20 km/h - pluies éparses
Soirée 17°C 10 km/h rares averses

personne veus faire equipe avec moi pour curdin

moi j'irai bien faire de la bosse à curdin en individuel .....